CA : Conseil d’Administration
CLAN : Comité de Liaison Alimentation et Nutrition
CLIAS : Comité de Lutte contre les Infections Associées aux Soins
CLUD : Comité de Lutte Contre la Douleur
CME : Comité Médical d’Etablissement
COVIRIS: Comité de Vigilances et des Risques
CREX : Comité de Retour d’EXpérience
CDU : Commission des Usagers
CVS : Conseil de la Vie Social
DD : Développement Durable
CQVT : Qualité de vie au travail
CETH : Comité Ethique
CIV : Cellule d’identito-Vigilance
SSIAD SSBDR
Les secteurs du SSIAD sont situés dans le 1er, 2ème, 3ème et 6ème arrondissement de la commune de Marseille, Fos Sur Mer, Istres, Saint Mitre les remparts, Cornillon-Confoux, Eyguières, Grans, Lançon de Provence, Miramas, Pelissanne, Saint-Chamas, Salon de Provence.
HAD SSBDR
Les secteurs pour l’HAD sont situés sur le territoire d’Arles, Saint Martin de Crau, Port de Bouc, Port Saint Louis du Rhône et Fos sur Mer.
SSBDR est une structure mixte utilisant les compétences internes de ses propres équipes et coordonnant les interventions de professionnels extérieurs.
L’Association SSBDR s’est inscrite dans une politique de partenariat active avec les établissements et services médico-sanitaires sur l’ensemble de son secteur géographique.
Cette dynamique se traduit par de nombreuses conventions tant sur le domaine sanitaire que médicosocial.
Et plus particulièrement par l’implantation de SSBDR au sein de partenaires hospitaliers privilégiés tels que le Centre Hospitalier de Arles.
Ces derniers ont un rôle d’expert pour certaines pathologies fréquemment traitées, comme la cancérologie, la cardiologie, la neurologie… Le circuit de prise en charge du patient pouvant le conduire à des allers-retours entre notre structure et les autres établissements. La continuité des soins nécessite que soient organisés les passages entre les structures afin d’éviter les ruptures de prise en charge. Ainsi, SSBDR a signé des conventions de partenariat avec des établissements de santé.
De plus, SSBDR est complémentaire avec les SSIAD. En effet, nous assurons le relais si la situation du patient s’aggrave et à contrario nous leur confions un patient stabilisé. Des liens conventionnels sont alors formalisés.
Qu’il soit ou non le prescripteur, le médecin traitant ou hospitalier est le pivot dans l’organisation. Il est responsable de la prise en charge du patient pour lequel il dispense des soins de façon périodique. Il assure le suivi médical par la surveillance des soins lors de ses visites. Il adapte les traitements et peut faire intervenir un médecin spécialiste, après recueil de l’avis du médecin coordonnateur. Il est responsable de son diagnostic et de ses prescriptions. Avec le médecin coordonnateur, il est le garant, de la qualité de l’information concernant le patient, de son état de santé et de son traitement.
SSBDR peut avoir recours à des professionnels de santé (paramédicaux infirmiers, psychologues, professionnels de rééducation…) rémunérés ponctuellement à la prestation. La collaboration avec les professionnels de santé libéraux est formalisée dans un contrat définissant le cadre juridique et la collaboration. Le professionnel libéral s’engage ainsi à respecter les pratiques de la structure en ce qui concerne la continuité des soins, les modalités de transmission des informations, le dossier de soins et l’évaluation de la qualité des soins.
SSBDR a mis en place des conventions de partenariat avec un certain nombre de prestataires de matériel médical afin de garantir aux patients accueillis une qualité de matériel et une assistance 24h/24h; et ce conformément à la législation en vigueur.
Les données médicales sont transmises au Médecin responsable de l’information médicale dans l’établissement ou service et sont protégées par le secret médical. Les données autres sont protégées par le secret professionnel auquel est tenu l’ensemble des personnels. Les données concernant le patient peuvent faire l’objet d’un traitement automatisé dans les conditions fixées par la loi du 6 janvier 1978. La communication des documents et données s’effectue dans le respect des lois et réglementations en vigueur (loi du 2 mars 2002), des préconisations prévues par la charte des droits et libertés de la personne accueillie et selon le cas, dans le respect des mesures prises par l’autorité judiciaire.